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samedi 19 juillet 2014

ET A LA FIN, C'EST QUI QUI GAGNE, HEING ?




A la manière d'un hit des années '80, la mythique phrase de Gary Lineker est à nouveau le tube de notre été, cette fois remixée par le brésilien Jean NEYMAR! J'en ai marre d'avoir toujours raison...
Hé oui, depuis près d'un an et demi que ce blog existe pour faire connaître l'œuvre de ma vie, j'ai nommé "Un mental de footballeur allemand" (roman avec juste une noisette de foot dedans, pas plus, et qui plait même aux ménagères de plus de 50 ans!), je ne cesse de vous le dire : le footeux d'outre-Rhin s'est réveillé, prêt à reprendre sa domination sur la planète ballon.
La finale allemano-allemande de la Ligue des Champions 2013 n'était qu'une assiette de bretzels pour la mise en bouche... Nous avons maintenant attaqué le plat de résistance : la choucroute garnie du chef! Et vous allez encore en bouffer, croyez-moi!

D'un bout à l'autre de la CM brésilienne, et malgré quelques petits moments de flottement, la Mannschaft a dominé son sujet avec en point d'orgue cet hallucinant 7-1 infligé à l'autre (?) pays du football, le Brésil.
4 buts en 6 minutes, ça rentrait vraiment comme papa dans maman!  Une véritable catastrophe industrielle dont les effets se feront sans doute sentir là-bas des années durant... Un cauchemar éveillé comme dans le Brazil de Terry Gilliams... Et comble de l'ironie, les allemands portaient ce soir-là le maillot de Flamengo, l'un des plus grands clubs brésiliens!

Malgré cette bastonnade en demi, la finale contre les guerriers argentins fut indécise jusqu'au bout de la nuit (européenne).
Mais à la fin... un but du juvénile Götze évita l'aberration d'une finale de Coupe du Monde conclue aux tirs aux buts, et surtout apporta une quatrième étoile sur le capot de la Mercedes avec la plaque "D".
Et effet collatéral de ce but, mon roman est pile-poil d'actualité pour les 4 ans à venir!
Quant à moi, je pense être le seul fan de foot à avoir suivi la première mi-temps de ce match en épluchant un plein saladier d'oignons en vue de la pissaladière du lendemain... tout en portant des lunettes de chantier en guise de protection pour mes yeux... Don't cry for me, Argentina... ;-) 

Quant à nos Bleus, ils ont effectué une bonne campagne de relations publiques qui a fait oublier qu'ils étaient considérés comme des lascars il y a peu encore...
Mais néanmoins, ils auraient surement pu mieux faire avec un zeste de... rigueur allemande en plus!
Rendez-vous en 2016 en France? Tope-là! ;-)

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